Jean-Claude Meynard
Bestiaire Fractal

Jean-Claude Meynard
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Jean-Claude Meynard

Jean-Claude Meynard, mémoire d'éléphant 2014

Encore à propos du Bestiaire Fractal
En mémoire de Jean-Claude Meynard


La réalisation du  Bestiaire fractal  entreprise par Jean-Claude Meynard au cours des dernières années (2014-2017), permet de délimiter avec plus de précision la portée axiologique et théorique de sa production. En termes de réflexion générale sur la direction de son travail, il semble même capable d'en éclairer de l'intérieur le sens et la profondeur mieux que les précédentes séries figuratives des Hybrides et des Mutations.
   Cette plus grande clarté programmatique est rendue  plus transparente par la déclinaison du thème de la complexité de la métamorphose (qui se focalise ici  sur le rapprochement jonction-disjonction de l'humain et du non-humain) non seulement sur le plan formel (comme pouvaient  l'être encore les Hybrides), mais aussi en termes  symboliques (par rapport aux domaines théorico-pratiques des instances anthropologiques et éthologiques que forcément elle rappelle). Il va sans dire que le choix du sujet met l'accent - ou plus ou plus exactement éclaire - sur la valeur éthique et cognitive que Meynard attribue à sa pratique esthétique et au rôle que l'activité artistique, en général, peut encore jouer à l'intérieur du contexte socio-historique actuel.

Dans un second moment nous examinerons en détail, dans une perspective critico- interprétative, le quid et la dimension symbolique spécifique des résolutions figuratives individuelles (chaque image "animale" est générée en utilisant un algorithme qui permet de formaliser la figure par la concrétion articulée d'un morphème "métahumain"). Mais en premier lieu, nous chercherons à détailler les coordonnées  idéelles en amont du Bestiaire, pour les ramener à la vue d'ensemble de ce que nous pourrions appeler "l'ontologie de l'art" dans laquelle sont situées les intentions esthétiques (au moins pour nous) du projet de Meynard.
 En attendant, en accord avec les indications de Georg W. Bertram (1), toute l'architecture du Bestiaire  semble être inscrite dans une pratique réflexive, qui ne vise pas à produire simplement un corpus d'œuvres. Elle incite, plus profondément,  le spectateur à s'interroger sur lui-même (c'est à dire à l'approfondissement et à la  comparaison par l'observateur des questions que le travail met en place par rapport à la connaissance qu'il a de lui-même) et, plus généralement, sur la spécificité identitaire qui caractérise la place, et la légitimité de l'homme à s'accorder une telle place, dans le monde.
 L'expérience esthétique, assumée par le travail de Meynard, se constitue donc  en relation avec des  indices de transformation et de renégociation à l'égard des habitudes quotidiennes, sans pour autant rompre avec celles-ci. Le feedback- ou la rétroaction- pratique qui amène  à reconsidérer notre manière d'être au monde, notre façon de le percevoir et de le sentir, ainsi qu'à poursuivre le développement de ses perspectives rationnelles, est une intention non secondaire de la poétique meynardienne et investit dans une même mesure son œuvre et le processus interprétatif des spectateurs.

 Grâce au choix du support numérique, pour l'élaboration de la figuration fractale, l'artiste s'approprie des outils qui ne font pas partie canoniquement du registre stylistique des disciplines picturales ou graphiques, mais en étant médiatisée dans le champ d'application mathématique elle bénéficie d'un apport cognitif de fond qui corrobore structurellement ses résolutions figuratives imaginatives.
 Parmi les premiers en France, à la fin des années 80,  à en avoir deviné les potentialités géométriques et topologiques pour la création artistique, il en a exploré les implications heuristiques, d'abord en relation avec une interrogation explicite sur la complexité et le caractère chaotique des phénomènes physiques, et ensuite en relation avec des phénomènes socio-historiques et psychologiques en vue d'une meilleure compréhension du monde dans ses facettes infinies.

L'intrinsèque valeur métonymique du fractal, combinée à  la propriété qui autorise la synthèse disjonctive du particulier dans l'universel et inversement – comme l'a théorisé Deleuze – a permis à l'artiste de saisir des constellations de sens unifiées dans une stratification visible et cohérente.. Ces constellations signifiantes, dans lesquels les références et les rapprochements entre l'humain et l'animal soutiennent, dans un retour continuel et une variation d'échelle (subliminale et physique), chaque champ sémantique possible détectable par l'observateur, sont à leur tour en interaction avec les constellations "génériques" (2) qui spécifient la détermination formelle des œuvres (voir  à cet égard la manière dont sont revisités le rythme, le ton, les variations chromatiques dans l'invention iconographique de Partition Papageno).

Les "animaux" de Meynard (du « fantastique », Nautile à Pégase, solairement couvert de plumes plutôt que « l'ultra-historique », Eléphant écrasé de mémoire ou la Féline, d'une symétrie agressive) imposent puissamment à l'élément iconographique traditionnel un registre nouveau et problématique, quand on les confronte aux résultats hérités de l'histoire passée. Au regard de la concrescence continue de la figuration fractale, qui en même temps se fonde sur la récursivité micro-macrologique des formes, le spectateur est à la fois guidé et provoqué par les images. Dans un premier temps, il fait l'expérience de leur caractère auto-référentiel. En effet, les suggestions internes entre nature et histoire, symbolique et réel, que l'artiste manipule, ajoutent de nouveaux développements syntaxiques à la longue tradition de la représentation artistique des animaux. Par suite, le spectateur se trouve dans l'obligation de prendre parti par rapport à la spécificité de ce qui lui est présenté.

Par ailleurs, il n'est pas hasardeux, de dire que les images suggèrent des interprétations infinies en relation avec les grandes thématiques que l'artiste a dû parcourir, explorant toute l'iconographie "zoologique" telle qu'elle se manifeste dans les sphères métaphysiques, philosophiques. Scientifiques et littéraires, avant de parvenir à la fécondité de la synthèse finale (la "matrice" numérique donnant corps et substance à l'œuvre). En fait, la clarification immédiate de la figure de chaque animal particulier accueille un éventail signifiant d'hypothèses distribué sur plusieurs sémèmes qui entremêlent inextricablement des perspectives rationalistes, imaginaires ou de pure invention. Simultanément, la composition virtuelle des images, en l'absence de référent, appartient à une sphère figurative constituée par des paramètres visiblement plus logico-cognitifs que représentatifs. Meynard, dans un esprit néo-romantique, semble esquisser en chacune des images l'intégration de l'infini dans le fini, plutôt que de rechercher une résolution formellement accomplie. En ce sens, au regard de l'ouverture signifiante qui les constitue, les images manifestent leur propre potentiel de transformation (ou de confirmation pour les sujets relativement à leur situation dans le monde) en tant qu'actes iconiques, et incitent à penser et à agir. Ce sont des constructions « poietiques » inspiratrices d'inflexions actives et claires pour la vie.

Ce caractère «ouvert» des représentations légitime même la liberté pour le spectateur de ramener le contenu provocateur, que Meynard lui propose, à ses propres conceptions pratiques, extraesthétiques en vue d'un cheminement narratif (diégétique) de la conscience. Comme cela a déjà été dit, le travail de l'artiste parvient, dans un certain sens, à ramener l'observateur vers une confrontation avec lui-même en vue de clarifier ses propres représentations concernant l'articulation dialectique de l'homme et de l'animal, alors que par ailleurs, il en stimule l'activité critique au-delà de cette question. Cette confrontation avec l'artiste (amenant le spectateur à juger si l'œuvre dans ses composants est conforme ou pas (3) à ses conceptions et à son univers affectif) permet d'amorcer une sorte de «dépendance dans l'autonomie» (4) qui définit, en même temps, l'expérience esthétique (à l'intérieur de laquelle nous pouvons par conséquent ramener la poétique meynardienne telle qu'elle se manifeste dans le Bestiaire) comme moment d'interaction dynamique entre les œuvres artistiques, les habitudes humaines et les exigences critiques, à forte résistance normative et évaluative-en vue de faire réfléchir sur les œuvres et les déterminations qu'elles suscitent.

En conclusion, sur la base de ces clarifications, l'impulsion qui gouverne l'approche artistique meynardienne (et nous pourrions dire le cœur de l'aspiration critique que la série figurative du Bestiaire « encapsule » comme sa propre raison d'être) ne craint pas de pouvoir échouer, ou mieux accepte l'indétermination comme spécificité pratique de sa continuelle réflexion sur sa propre valeur. Ainsi, son articulation en "formes particulières autodéterminées de la pratique"(5) est aussi un indice non trompeur de son orientation vers une destination pratique de liberté.


Jean-Claude Meynard (1951) est décédé le 11/09/2019. Ce texte a pour but de rappeler sa contribution à l'interaction symbiotique et poétique entre art et science (l'art fractal) qu'il a réalisé dans le domaine de la recherche figurative contemporaine.

Giancarlo Pagliasso (vit et travaille à Turin-Italie) est un essayiste, esthéticien et curator, il a publié plusieurs ouvrages sur l'art. Il est un spécialiste de l'œuvre de Julian Beck, il a contribué avec Patrick Amine à l'exposition Beat Generation au Centre Pompidou-Paris, en 2016. Voir en particulier, G.W. Bertram, L'arte come prassi umana. Un' estetica, ed.it. a cura di F.Vercellone, tr.it.di A.Bertinetto, Milano, Raffaello Cortina Editore, 2017.G.W.Bertram, Che cos'è l'arte ? Abbozzo di un'ontologia dell'arte, in Il bello dell'esperienza. La nuova estetica tedesca, a cura di A. Bertinetto e G.W.Bertram, Milano, Christian Marinotti Edizione, 2017. Les références, les comparaisons et les autres précisions par rapport aux positions de J.C. Meynard sont à comprendre à l'aune des horizons théoriques contenus dans ces deux textes.
- Voir G.W.Bertram, L'arte come prassi umana…cit. pp. 121-128
- Bertram parle, en ce sens, d'"excellence de l'œuvre". Voir G.W.Bertram, Che cosè l'arte ?...cit.p.223
- Voir G.W.Bertram, L'arte come prassi umana…, cit.p.179.
- Ibid.p.182.

A proposito del Bestiario frattale
In memoria di Jean-Claude Meynard


La realizzazione del "Bestiario frattale", intrapresa da Jean-Claude Meynard nel corso degli ultimi anni (2014-2017), consente di delineare con più precisione la portata assiologica e teorica della sua produzione. In termini di riflessione generale sulla traiettoria del suo lavoro, sembra addirittura in grado di illuminarne dall'interno il senso e la profondità meglio che le precedenti serie figurative ‘metamorfiche' degli Ibridi e delle Mutazioni. Questa miglior evidenza programmatica (o, meglio, immediata comprensibilità dell'assunto mediatico a monte del progetto del Bestiario) è resa più trasparente dalla declinazione del tema della complessità della metamorfosi (che qui si focalizza sul raccordo-giunzione-disgiunzione dell'umano e del non-umano) non solo in termini formali (come poteva essere ancora negli Ibridi), ma anche in chiave simbolica (rispetto ai bacini teorico-pratici delle istanze antropologiche ed etologiche che forzatamente richiama). Va da sé che la scelta del soggetto pone allo scoperto – o più distintamente illumina – circa la valenza etico-cognitiva che Meynard assegna alla propria pratica estetica e al ruolo che la pratica artistica in generale può ancora svolgere all'interno del contesto socio-storico attuale.

Esamineremo in dettaglio in un secondo momento, con un'analisi critico-interpretativa il quid e la caratura simbolica specifica delle singole risoluzioni figurative (ogni immagine ‘animale' è generata mediante un algoritmo che permette di formalizzarne la figura attraverso la concrezione articolata di un morfema 'metaumano'), mentre in primis cercheremo di dettagliare le coordinate ideative a monte del Bestiario, per riportarle al quadro complessivo di quella che potremmo chiamare "l'ontologia dell'arte" al cui interno si collocano gli intendimenti estetici (almeno per noi) del progetto di Meynard. Intanto, in sintonia con le indicazioni di Georg W. Bertram(1), l'intera architettura del Bestiario sembra essere inscrivibile all'interno di una prassi riflessiva, cioè non destinata alla semplice produzione di un corpus di opere ma all'approfondimento e al confronto da parte dell'osservatore con le istanze che i lavori pongono in essere rispetto alla cognizione che questi ha di sé e, in senso più generale, circa lo specifico identitario che caratterizza il posto e la legittimità del porsi dell'uomo nel mondo. L'esperienza estetica, presupposta dal lavoro di Meynard, si configura quindi in relazione ad indici di trasformazione e rinegoziazione differenziante con le pratiche quotidiane e non come qualcosa di avulso da quest'ultime. Il feedback pratico di riconsiderazione del proprio ruolo, del proprio sentire e percepire il mondo, nonché quello di contribuire a perseguirne le sollecitazione razionalmente mirate e produttive, comprendendole nel loro svolgersi, rientra come intendimento non secondario all'interno della poetica meynardiana e investe in egual misura il suo operare e conseguentemente il procedere interpretante dei fruitori.

Già dalla scelta del medium digitale con l'utilizzo della figurazione frattale, l'artista si appropria di strumenti operativi che non appartengono canonicamente al registro stilistico delle discipline pittorica o grafica, ma essendo mediati dall'ambito matematico privilegiano un importo cognitivo di sottofondo che corrobora strutturalmente le sue risoluzioni figurali immaginative. Tra i primi in Francia, alla fine degli anni '80, ad averne intuito le potenzialità geometrico-topologiche per la creazione artistica, ne ha esplorato le implicanze euristiche, dapprima in relazione ad una chiara interrogazione sulla complessità e caoticità dei fenomeni fisici, poi anche di quelli socio-storici e psicologici in vista di una maggior comprensione del mondo nelle sue infinite sfaccettature.

L'intrinseca valenza metonimica del frattale, unita alla proprietà di permettere, come teorizzato da Deleuze, la sintesi disgiuntiva del particolare nell'universale e viceversa, ha consentito all'artista di cogliere, accorpandole in un tracciato visibile coerente, costellazioni di senso nel medesimo tempo stratificate e uniche. Queste costellazioni significanti, in cui i riferimenti e i raccordi tra l'umano e il bestiale supportano, in un continuo rimando e variazione di scala (subliminale e fisica), ogni possibile campo semantico individuabile dall'osservatore, sono a loro volta interagenti con le costellazioni ‘generiche'(2) che specificano la determinatezza formale delle opere (esemplare a questo proposito la rivisitazione di ritmo, tono e notazioni ‘cromatiche' riscontrabile nell'invenzione iconografica di Partition Papageno).

Gli "animali" di Meynard (dal "fantastico" Nautilo al solarmente "piumato" Pegaso, piuttosto che "l'ultrastorico" Elefante, corazzato di memoria, o il Felino, aggressivamente simmetrico) surdeterminano l'elemento iconografico tradizionale ad un registro iconologico nuovo e problematico, proprio quando si cimentano in parallelo con i risultati espressivi ereditati dalla storia passata circa il medesimo soggetto. Data la concrescenza continua della figuratività frattale, che però ‘s'appoggia' sulla ricorsività circolare micro-macrologica delle forme, l'osservatore è contemporaneamente guidato e ‘provocato' dalle immagini: in un primo momento esperisce la loro misura autoreferenziale, poiché le suggestioni al loro interno tra natura e storia, simbolico e reale, che l'artista maneggia, interagiscono e aggiungono nuovi sviluppi sintattici alla lunga cronaca della raffigurazione artistica degli animali; in seguito, è costretto a prendere partito rispetto a quanto di specifico gli viene presentato.

Rimanendo alle immagini, non è azzardato dire che consentono suggestioni interpretative "sottoinsiemistiche" rispetto alle grandi aree tematiche che l'artista ha dovuto percorrere, campionando gli ambiti religiosi, filosofici, scientifici e letterari di iscrizione iconografica zoologica, prima di arrivare alla sintesi finale del risultato operativo (la "matrice" digitale cui dare corpo e sostanza d'opera). Infatti, la chiarificazione immediata della figura di ogni singolo animale accoglie un ventaglio significante di ipotesi distribuito su più sememi che intrecciano inestricabilmente prospettive raziocinanti, immaginarie o di pura invenzione. Contemporaneamente, il riflesso "costruito" delle immagini, il loro comporsi virtuale in assenza di referente, appartiene ad una sfera figurale istanziata da parametri ostensivi più logico-conoscitivi che rappresentativi. Meynard, con spirito neo-romantico, sembra profilare in ognuna di esse l'insinuarsi dell'infinito nel finito, piuttosto che ricercare una risoluzione formale conchiusa.

In questo senso, data la loro costituente apertura significante, manifestano il proprio potenziale trasformativo (o di conferma per i soggetti rispetto al loro situarsi nel mondo) in quanto atti iconici, stimoli a pensare e ad agire, risultando costruzioni ‘poietiche' ispiratrici di inflessioni attive e chiare per la vita. Questo carattere ‘aperto' delle raffigurazioni sostanzia anche la libertà del fruitore di rapportare il contenuto di provocazione, che Meynard gli propone, ai propri intendimenti pratici extraestetici in vista di un percorso diegetico di consapevolezza. Come già detto, il lavoro dell'artista riesce, per un certo verso, a vincolare l'osservatore agli indirizzi che esso dipana al proprio interno, cioè le relazioni e gli ambiti determinati che costituiscono l'articolazione espressiva della dialettica tra uomo e animale, mentre dall'altro ne stimola l'attività critica di confronto ricollocandola al di là di questo bacino specifico. Ciò consente di avviare, proprio mentre il fruitore si confronta con quello (giudicando se l'opera nelle sue componenti si uniforma all'aspettativa di essere confacente o meno(3) per la rideterminazione pratica delle proprie concezioni di sé o situazioni emotive a cui aspira), una sorta di ‘dipendenza nell'autonomia'(4), che contemporaneamente specifica l'esperienza estetica (al cui interno possiamo quindi riportare la poetica meynardiana nella sua esteriorizzazione del Bestiario) come momento di interazione dinamica tra artefatti artistici, pratiche umane e istanze critiche – a forte impedenza normativa e valutativa – atte a far riflettere sugli artefatti e sulle determinazioni che questi suscitano.

In conclusione, sulla base di queste chiarificazioni, l'impulso a monte dell'approccio artistico meynardiano (e potremmo dire il nocciolo dell'anelito critico che la serie figurativa del Bestiario ‘incapsula' come propria ragion d'essere) non teme di poter fallire o, meglio, accoglie l'indeterminatezza come specificità pratica della sua continua autoriflessione circa il proprio valore. Così, questo suo articolarsi in «forme particolari autodeterminate della prassi»(5) è anche indizio non ingannevole del suo orientamento verso una destinazione pratica di libertà.


- Cfr., in particolare, G W..Bertram, L'arte come prassi umana. Un'estetica, ed.it. a cura di F.Vercellone, tr.it. di A.Bertinetto, Milano, Raffaello Cortina Editore, 2017. G.W.Bertram, Che cos'è l'arte?Abbozzo di un'ontologia dell'arte, in Il bello dell'esperienza. La nuova estetic tedesca, a cura di A.Bertinetto e G. W.Bertram, Milano, Christian Marinotti Edizioni, 2017. Riferimenti, confronti e ulteriori specificazioni rispetto alle posizioni di J.-C. Meynard sono da intendersi comparativamente agli orizzonti teorici contenuti in questi due testi.
- Cfr.G.W.Bertram, L'arte come prassi umana…cit. pp.121-138.
- Bertram parla, in questo senso, di "pregevolezza dell'opera". Cfr. G.W.Bertram, Che cos'è l'arte?…cit.p.223.
- Cfr. G.W.Bertram, L'arte come prassi umana…,cit.p.179.
- Ibid., p.182.

Jean-Claude Meynard (1951) è mancato il giorno 11/09/2019. Questo testo vuole ricordarlo in relazione al contributo che la sua poetica di interazione tra arte e scienza (arte frattale) ha portato nell'ambito della ricerca figurativa contemporanea.
 
 
 
 
 
GianCarlo Pagliasso
Traduit par Stéphane Rocchietti
Turin, 2019
 
jeanclaudemeynard.com
fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Meynard
www.connaissancedesarts.com/deces-de-jean-claude-meynard

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