Déambulations LyonnaiseBiennale de Lyon 2017 : Mondes flottants
Aliansyah Caniago, The Sky Is Portable, 2016
Berger & Berger, No tears for the creatures of the night, 2017 Camille Norment, Prime, 2016 Céleste Boursier-Mougenot, clinamen V4, 2017 Cerith Wyn Evans, apparition, 2008 Cildo Meireles, Babel, 2001 Damian Ortega, Hollow Stuffed market law, 2012 Daniel Steegmann Mangrané, A transparent Leaf Instead of The Mouth, 2016-2017 Dario Villalba, 1974 David Balula, Every Single Word Ever Used in this room, 2017 David Medala, Cloud Canyons, 1963-2016 David Tudor, Rainforest V variation 2, 2015 Doug Aithen, Sonic Fountain II, 2013-2017 Ernesto Neto, Jean Arp, Alexander Calder Hans Haache, Wide White Flow, 1967-2017 Hao Jingfang & Wang Lingjie, Over the rainbow, 2016 Hector Zamora, Synclastic Anticlastic, 2010. Marco Godinho, Forever Immigrant, 2012 Jan Mancuska, Oedipus, 2006 Jill Magid, Tapete de flores, 2016 Julien Creuzet, Ricochets, les galets que nous sommes finiront par couler, 2017 Lee Mingwei, Living room, 2000, Fondation Bullukian Lucio Fontana, Concetto spaziale, 1967 Lygia Pape, New House, 2000 Marco Godinho, Forever Immigrant, 2012 Marion Robin, Plan de l'IAC, 2017 Mathieu Briand SYS*021.IsN*01_EsE-AcE.InR-ExR_Mic-EnE*4, 2004 MD & Yuho Mohri Melik Ohanian, Borderland-I Walked a Far Piece, 2017 Mitsunori Kimura, Face on Rope, 2010 Nairy Baghramian, Dwindler_Updraft, 2017 Philippe Quesne, Welcome to Caveland!, 2017 Pratchaya Phinthong, Ephemeral Cinema, 2004 Rivane Neuenschwander, Bataille, 2017 Robert Breer, Rug 1969, Rug1966, Rug 1965 Shimabuhu, Cuban Samba, 2016 Tomas Saraceno,Hyperweb of the present, 2017 Yuho Mohri Orlan et Michel Clerbois déambulent… "Les oeuvres qui composent ces Mondes flottants sont soustendues par la conscience que l'imaginaire, la poésie et l'art sont à la fois des révélateurs et des antidotes à l'instabilité du temps présent. Selon les mots de Nelson Goodman, "elles exemplifient des formes, des sentiments, des affinités, des contrastes, qu'elles cherchent dans, ou construisent en, un monde". J'aimerais que les visiteurs parcourent la Biennale comme les promeneurs d'un paysage expérimental et sensoriel, élargissant leur perception, leur conception du monde. La Biennale se déploie comme un voyage au sein d'un archipel d'îlots qui sont tour à tour des scènes ou des haltes propices au ralentissement, générant tour à tour émerveillement, prise de conscience, contemplation ou réflexion." Emma Lavigne directrice du Centre Pompidou-Metz et commissaire de la 14ème Biennale de Lyon Michel Clerbois
Lyon, septembre 2017 |