Grapheur depuis 1982, autodidacte, artiste polymorphe, musicien, professeur d'anglais, il explore ses passions avec sérénité, avançant en spirale, alternant ses pôles d'expression multiples... Il fait partie des précurseurs de cet art devenu majeur dans la lignée de Gérard Zlotykamien et Ernest Pignon Ernest.
Son univers est enraciné dans les 60’S, cet amoureux de contre-culture collectionne les vinyls, magazines et affiches de concerts. Très jeune, en parallèle à ses études, il réalise des pochettes de vinyls pour des groupes de Rocks et participe à de nombreuses actions de mail-art, fanzines et graphzines.
puis la rue…
"La première fois que j'ai vu des pochoirs, c'était environ 5 ans avant que j'en fasse moi-même. J'ai vu le groupe Clash en 1977, qui avait des pochoirs sur leurs blousons et sur leurs chemises, c'était principalement des lettres et des chiffres, des choses un peu industrielles, il y avait aussi le fameux "I'm a prostitute".
Ce côté "lettrage industriel" m'intéressait, il y avait aussi un petit logo anti-nucléaire, c'était pas grand-chose, mais la liberté qui en émanait été patente".
"le pochoir, c'est vieux comme le monde, on en trouve déjà dans certaines images pop, chez Rauschenberg, chez Jasper Jones, chez les pop artistes américains".
Sources et outils à portée de main, polaroids, photos matons, il réalise alors son premier autoportrait, partant d’une photo agrandie en série de manière à n’avoir plus que les lignes essentielles, découpe au pochoir et accomplit son premier acte de création. Puis de ville en ville, il investit les espaces, apposant ses pochoirs ou collages respectueux des murs ou "taggant" ses portraits à même les murs.
Rassembleur, il participe à des manifestations communes et pour les galeries crée des oeuvres où la contraintes des toiles et de leur formats lui permet de développer une expression propre et centrée sur l’humain.
Son univers est enraciné dans les 60’S, cet amoureux de contre-culture collectionne les vinyls, magazines et affiches de concerts. Très jeune, en parallèle à ses études, il réalise des pochettes de vinyls pour des groupes de Rocks et participe à de nombreuses actions de mail-art, fanzines et graphzines.
puis la rue…
"La première fois que j'ai vu des pochoirs, c'était environ 5 ans avant que j'en fasse moi-même. J'ai vu le groupe Clash en 1977, qui avait des pochoirs sur leurs blousons et sur leurs chemises, c'était principalement des lettres et des chiffres, des choses un peu industrielles, il y avait aussi le fameux "I'm a prostitute".
Ce côté "lettrage industriel" m'intéressait, il y avait aussi un petit logo anti-nucléaire, c'était pas grand-chose, mais la liberté qui en émanait été patente".
"le pochoir, c'est vieux comme le monde, on en trouve déjà dans certaines images pop, chez Rauschenberg, chez Jasper Jones, chez les pop artistes américains".
Sources et outils à portée de main, polaroids, photos matons, il réalise alors son premier autoportrait, partant d’une photo agrandie en série de manière à n’avoir plus que les lignes essentielles, découpe au pochoir et accomplit son premier acte de création. Puis de ville en ville, il investit les espaces, apposant ses pochoirs ou collages respectueux des murs ou "taggant" ses portraits à même les murs.
Rassembleur, il participe à des manifestations communes et pour les galeries crée des oeuvres où la contraintes des toiles et de leur formats lui permet de développer une expression propre et centrée sur l’humain.
Edith Herlemont-Lassiat
Paris, mars 2010
Paris, mars 2010
Jef Aérosol
"Chinese Street Art" du 11 mars au 6 avril 2010
Galerie Lipao-Huang, 16 rue Dauphine, Paris 75006
galerie-lipao-huang.com
Galerie Lipao-Huang, 16 rue Dauphine, Paris 75006
galerie-lipao-huang.com